Les procédés de la REUT
La réutilisation des eaux usées consiste en l’utilisation d’eaux usées traitées en fonction de l’usage avec des objectifs de valorisation et de maîtrise des risques sanitaires et environnementaux. L’enjeu principal est de fournir une ressource alternative. La REUT se pose donc en trois étapes : 1. Récupération des eaux usées traitées, en sortie d’une STEP par exemple. 2. Traitement complémentaire de ces eaux usées, que l’on peut adapter aux usages. Il s’agit de se débarrasser des impuretés dangereuses et/ou toxiques. NB : en France, à date, toutes les installations de traitement tertiaire sont intégrées aux stations d’épuration : il n’y a donc pas deux étapes séparées. 3. Utiliser l'eau à nouveau en la réinjectant, ce qui accélérera le cycle local de l’eau. Cette réinjection peut être directe (usage immédiat) ou bien indirecte (l’eau recyclée repasse alors par le milieu naturel pour stockage ou affinage avant d’être à nouveau prélevée, ce qui est le cas par exemple de la recharge de nappes). En fonction des niveaux de traitement, de nombreuses utilisations sont possibles, qui vont de l’irrigation agricole, à l’arrosage de golfs ou d’espaces verts en milieu urbain, à l’usage municipal comme le nettoyage des voiries, le lavage de voitures ou des sanitaires en passant par la recharge artificielle de nappe, la lutte contre les incendies, ou la protection et la remise en état de milieux naturels. L’innovation et l’évolution peuvent même mener à la potabilisation directe des EUT, comme c’est par exemple le cas en Namibie depuis déjà plus de 50 ans ou au Texas et en Californie qui présentent des expériences récentes concluantes10. La diversité des contextes et des besoins façonne bien souvent les usages et il est encore rare aujourd’hui de voir un état qui ait posé des objectifs ambitieux de REUT sans avoir de sérieux problèmes de stress hydrique ou de protection du milieu naturel (par exemple la Floride ou le nord de la Californie).
Une caméra d’occase…
Cherchez-vous à acheter un caméscope bon marché ou un appareil photo numérique? Si oui, vous pouvez visiter pour trouver de bonnes affaires, mais que devez-vous savoir avant d'acheter? Tous les appareils photo numériques n'ont pas de stockage interne. Il y a souvent une carte de stockage séparée nécessaire. Malheureusement, de nombreux propriétaires d'appareils photo préfèrent conserver ces cartes, car la plupart sont interchangeables entre les caméras. Avant d'acheter un appareil photo numérique ou même un caméscope, renseignez-vous sur le stockage des données. Aurez-vous besoin d'acheter des accessoires supplémentaires, comme une carte de stockage ou est-il inclus? Heureusement, ils ne coûtent pas cher, mais ils vont augmenter le coût de votre appareil photo numérique, comme un Canon. Lorsqu'ils sont achetés neufs, la plupart des appareils photo numériques et des enregistreurs vidéo sont livrés avec des câbles USB. Ceux-ci sont conçus pour connecter l'appareil à l'ordinateur, où vous pouvez télécharger vos photos ou films. Il est également courant que ces câbles USB soient interchangeables avec d'autres appareils. Un vendeur peut décider de garder le câble. Ensuite, il vous reste à essayer de trouver un remplaçant. Honnêtement, il est préférable d'acheter toute l'électronique avec les câbles et accessoires nécessaires. Ça coûte moins cher et il y a moins de tracas plus tard sur la route pour vous. Assurez-vous que vous achetez un appareil photo numérique ou un enregistreur vidéo relativement nouveau. Au cours des dernières années, la technologie a progressé, tout comme les appareils photo numériques et les caméscopes. Pour les appareils photo numériques, comme un Kodak ou Canon, un appareil de 3 ou 4 méga pixels fonctionnera, mais vous en voulez plus. Il est également préférable d'opter pour une combinaison de zoom numérique et optique, car cela tend à entraîner de meilleures images et un meilleur redimensionnement. Toujours comparer les coûts en premier. Si vous achetez un appareil photo ou un enregistreur vidéo de Craigslist, vous achetez probablement utilisé. Beaucoup de vendeurs ne comprennent pas entièrement que l'utilisation devrait coûter moins cher. En fait, vous devriez payer environ la moitié du coût du neuf. Ne soyez pas surpris en passant par Best Buy que vous avez payé 250 $ pour un caméscope DVD Samsung usagé avec un moniteur LCD 2,7 "alors que vous auriez pu l'acheter pour seulement 30 $ de plus. En gardant à l'esprit les points mentionnés ci-dessus, vous devriez vous éloigner d'un appareil photo ou vidéo de qualité, mais abordable. Pour augmenter vos chances de trouver une bonne affaire, téléchargez le lecteur Craigslist gratuit à la page Ne cherchez pas une seule ville à la fois. Ce logiciel gratuit vous permet de rechercher plusieurs villes, des états entiers, ou tout de Craigslist à la fois! Pour en savoir plus, allez sur le site spécialiste du photographe à Lille.
Les actions du Défenseur des droits dans le domaine de la lutte contre le terrorisme
Parallèlement aux actions menées dans le cadre de la mise en œuvre de l’état d’urgence, le Défenseur des droits a émis en 2017 de sérieuses réserves sur l’intégration dans le droit commun de mesures administratives restrictives des droits et libertés inspirées de l’état d’urgence, telles que l’instauration de périmètres de protection, la fermeture des lieux de culte, les mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance, les visites et saisies. De son point de vue, l’adoption de ces mesures a permis une sortie « en trompe l’œil » de l’état d’urgence le 1er novembre 2017. Ainsi, dans deux avis adressés au Parlement, le Défenseur des droits a considéré que les dispositions de la loi du 30 octobre 2017 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme, tendant à faire de l’exception la règle, fragilisent l’état de droit et remettent en cause, d’une part, l’équilibre entre les exigences légitimes de la sécurité et la garantie de la protection des droits et libertés qui fonde notre droit pénal, et d’autre part, l’équilibre entre le rôle de l’autorité judiciaire et celui de l’autorité administrative qui se voit confier désormais davantage de pouvoirs. Il a également relevé qu’à côté du droit pénal et de la procédure pénale, se développait ainsi « un droit administratif de la prévention du terrorisme », retracé dans le code de sécurité intérieure, en rupture avec nombre de nos principes juridiques. Ces évolutions législatives marquent un glissement du droit vers une logique de suspicion, sans que les personnes mises en cause, parfois bien avant la commission d’un acte criminel, ne bénéficient des garanties judiciaires requises en matière de procédure pénale. Dans ces avis, le Défenseur des droits a, en outre, demandé au législateur de clarifier et préciser certaines dispositions trop vagues pour répondre aux exigences de légalité et de prévisibilité, et d’envisager davantage de garanties pour protéger les droits et libertés, notamment à travers un contrôle juridictionnel préalable. Il a également émis des réserves sur d’autres dispositions relatives aux contrôles dans les zones frontalières, à la transposition de la directive européenne relative à l'utilisation des données des dossiers passagers et à la surveillance hertzienne. Enfin, s’agissant des personnes concernées par les dispositifs de lutte contre la radicalisation, le Défenseur des droits a souligné la difficulté pour les personnes qui font ou ont fait l’objet de mesures de surveillance individuelle de disposer d’une voie de droit ou, a minima d’un recours permettant un règlement amiable de leur situation, dans la mesure où une partie des informations relatives au recueil de leurs données personnelles relève du secret de la défense nationale. Les mécanismes classiques de médiation du Défenseur des droits ainsi que ceux de la responsabilité administrative qui sont le plus souvent préconisés par les services du Défenseur des droits sont mis en échec du fait de la particularité des dispositifs mis en place. Par ailleurs, le Défenseur des droits a adressé deux avis au Parlement concernant la loi du 28 février 2017 relative à la sécurité publique. Il a émis de fortes réserves sur l’instauration d’un cadre de l’usage des armes commun aux policiers, gendarmes, douaniers et militaires, sur l‘élargissement de la possibilité de recourir à l’anonymat dans les procédures pénales pour protéger l’identité des policiers, gendarmes et des agents des douanes et enfin sur le renforcement de la mesure de contrôle administratif des retours sur le territoire national des personnes revenant de théâtres d’opérations de groupements terroristes qui avait été adoptée en 2016.
Apprendre par le web
Les progrès de la technologie de la communication depuis le milieu des années 1990 ont fait de l'apprentissage en ligne (parfois appelé «apprentissage virtuel» ou «enseignement à distance») une option éducative réalisable. L'idée est qu'un enseignant peut atteindre des étudiants dans des endroits éloignés, ce qui permet aux étudiants d'apprendre des sujets auxquels ils n'auraient pas accès autrement. Tout le monde n'a pas embrassé ce développement. Les critiques affirment qu'il est froid et impersonnel, et bien qu'il y ait des occasions de camaraderie en classe (par courriel et babillard électronique, par exemple), il ne reproduit pas l'expérience d'une vraie salle de classe. Historiquement, l'apprentissage virtuel a eu tendance à être un peu sec, en s'appuyant principalement sur le texte et les graphiques pour transmettre l'information. Les progrès dans les réseaux de puissance et de communication informatiques sont en train de changer cela, mais les expériences d'apprentissage multimédia restent plus riches et plus faciles dans une salle de classe traditionnelle. Quoi qu'il en soit, l'apprentissage en ligne requiert presque plus d'initiative de la part des élèves que l'apprentissage en classe traditionnel. Pourquoi? Dans une salle de classe virtuelle, les enseignants sont moins susceptibles de remarquer lorsque les élèves rêvent ou se relâchent. C'est probablement ce fait qui mène à des allégations selon lesquelles l'apprentissage en ligne est moins efficace que l'apprentissage traditionnel en classe. Enfin, l'apprentissage sur le Web nécessite des technologies et des connaissances relativement sophistiquées. Cela peut être hors de la portée de certaines personnes, mais ce n'est probablement pas un problème pour une école ou une organisation de toute taille. Dans d'autres aspects, cependant, l'apprentissage en ligne dépasse de loin sa contrepartie traditionnelle. Un avantage majeur est celui qui permet à n'importe qui, n'importe où, d'étudier quoi que ce soit. Par exemple, une petite école dans l'Oklahoma rural est peu susceptible d'offrir à ses étudiants une grande variété de cours de langue; l'école est trop petite pour que le district scolaire justifie l'embauche d'enseignants de, disons, russe ou arabe. Dans un environnement de classe traditionnel, les élèves qui s'intéressent à ces régions du monde n'auront tout simplement pas de chance. Grâce à l'apprentissage sur le Web, les élèves ont toutefois accès à des sujets relativement obscurs. Il y a, en fait, une énorme bibliothèque de cours et de formations offerts dans le monde entier. L'apprentissage sur le Web a permis d'étudier presque n'importe quel sujet de presque partout dans le monde. Un deuxième avantage majeur est que certains types d'apprentissage sur Internet permettent aux étudiants de progresser à leur propre rythme. Ce n'est pas le cas des salles de classe virtuelles qui sont menées en temps réel. Cependant, de nombreux modules d'apprentissage en ligne sont proposés dans des modules, que les étudiants suivent individuellement, à leur propre rythme. De plus, un forum électronique permet aux étudiants de rencontrer des enseignants dans le cadre de sessions en tête-à-tête. La capacité de travailler à travers le matériel au rythme de l'élève est un avantage considérable par rapport aux méthodes d'enseignement traditionnelles. En conséquence, l'apprentissage sur le Web ne peut remplacer et ne remplacera probablement jamais l'apprentissage traditionnel. Cependant, il est de loin supérieur, de sorte que les étudiants qui répondent à certains critères le trouveront inestimable. Afin de maximiser son efficacité, les éducateurs doivent développer de nouvelles techniques d'enseignement conçues pour dépasser les limites de l'apprentissage en ligne. Retrouvez plus d'informations sur la formation en SEO à Lille.
La valeur relative des dépenses budgétaires des examens
La dépense budgétaire liées aux examens des élèves est présentée dans l’action « certification » du programme n° 214 « Soutien de la politique de l’éducation nationale ». L’action « certification » regroupe les frais d’organisation des examens de l’enseignement général et technologique (DNB, bac général et technologique, BTS, etc.), des examens de l’enseignement professionnel (CAP/BEP, bac professionnel). En 2016, ces dépenses s’élevaient à 164,14 M€, en hausse de 3,9 % par rapport à 2015 (158 M€). S’agissant du baccalauréat qui représente à lui seul 57 % des dépenses de certification (79 M€), le ministère indique un coût moyen par élève présent de 77,80 € pour l’année 2015 (session 2014) avec une prévision pour 2017 inférieure à 85 €. Cette prévision a été ramenée à 80 € dans les projets annuels de performances des exercices budgétaires 2016 et 2017. Le coût moyen du DNB par candidat est faible et stable sur la période (2,50 € en 2005 et 2,80 € en 2015). Ces montants sont des estimations construites à partir d’une enquête réalisée auprès des seules académies métropolitaines et sont restreintes aux indemnités de jurys et aux frais de déplacement et d’organisation. Les dépenses relatives à la rémunération des personnels chargés de l’organisation des examens sont exclues. Les rapports d’inspection générale sont circonspects sur la validité des chiffrages budgétaires, même sans aborder la question de la prise en compte des rémunérations des enseignants, qui relève d’une logique de comptabilité analytique et non plus budgétaire. Le rapport des inspections générales IGF, IGAEN, IGEN, CGIET (Conseil général de l'industrie, de l'énergie et des technologies) de décembre 2011 "Proposition pour une évolution du baccalauréat" conclut de façon très prudente : « le coût du baccalauréat s’établirait plutôt entre 90 et 100 M d’euros ». Sur le sujet des indemnités de jurys et du remboursement des frais de déplacement, pour tous les examens, un audit comptable et financier de l’IGAENR et l’IGF en mai 2015 a une tonalité générale sévère sur la qualité des bases d’établissement de la dépense.
Bientôt les drones habités
Dernièrement, j'ai tenté une expérience inhabituelle : le pilotage d'avion. Je l'ai fait dans le ciel de Thonon, et si j'ai bien apprécié lachose, j'ai aussi relevé lors de ce vol que même un gosse de dix ans pourrait piloter un avion. Ce qui m'a surpris, car j'imaginais que le pilotage était une affaire ardue. Mais en fait, on peut passer sa licence de pilote avant même d'avoir la majorité ! Il y a une raison à cela : il n'y a pas grand monde en altitude ; on n'y trouve ni panneaux stop, ni pins à percuter. C'est sans doute pour cela que l'avion est le moyen de locomotion le plus sûr, en fait : le ciel est tellement vide qu'on ne voit plus à quelle vitesse on avance, une fois en altitude. Cette activité m'a du coup rappelé le vieux fantasme des véhicules volants. Je me souviens encore des revues des années 80, qui affirmaient que ces voitures feraient partie de notre quotidien dans quelques années. Le minutage n'a pas vraiment été respecté (c'est le cas de le dire !), mais pour autant, je suis sûr qu'elles finiront malgré tout par faire leur apparition. Parce qu'à bien y réfléchir, elles ne pouvaient pas débarquer, jusqu'à une période récente. Leur débarquement dépendait en effet beaucoup de la poussée d'une autre technologie : celle des voitures autonomes. A voir comme il est simple de piloter un appareil, on pourrait spéculer qu'il y aurait nettement moins de désastres avec ces engins-là qu'avec des voitures terrestres ; celles-ci évoluent dans un milieu hautement malaisé, comparé aux engins volants. Mais c'est mettre de côté une question essentielle : celle du danger du trafic. De fait, si l'on avait autant de voitures volantes que de véhicules classiques, les accidents seraient de véritables carnages dans les airs. Des voitures volantes guidées par des hommes en paysage urbain sont donc selon moi impossibles. Mais vu que les premières voitures autonomes ne sont plus un fantasme, il n'y a plus d'obstacle majeur à l'introduction de voitures volantes sans chauffeur. Le ciel urbain va sans doute devenir très intéressant dans les années qui viennentL... Pour l'instant, cependant, il faut nous contenter de piloter de vieux coucous. Et ce n'est pas bien grave, car l'expérience est quand même captivante à vivre. Voici le site où j'ai déniché mon vol, pour ceux qui se sentent pousser des ailes. Retrouvez plus d'informations sur l'organisateur de cette activité de pilotage avion.
Les nouvelles ruptures conventionnelles
Le député de La France insoumise Alexis Corbière a vivement critiqué mardi le système des ruptures conventionnelles collectives et son usage par des grands groupes comme Pimkie ou PSA, un dispositif qui selon lui « facilite le licenciement » et créé le risque d’un « chantage au chômage ». Ces ruptures conventionnelles collectives – prévues par la réforme du Code du travail et qui existaient déjà à l’échelle individuelle – permettent des départs volontaires, selon une procédure moins risquée pour l’entreprise et moins contraignante que celle d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE). « Quand vous vendez des armes, il ne faut pas s’étonner que les gens les utilisent un jour. Quand vous mettez en place un dispositif qui facilite le licenciement, les licenciements sont plus faciles », a estimé le député de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière sur France Inter. Même si les ruptures conventionnelles sont conditionnées à la signature d’un accord majoritaire avec les syndicats, « il y a sans doute des boîtes où les rapports de force entre salariés et patronat sont un peu difficiles (…) il y a des représentants de salariés qui peuvent subir des pressions, avec la menace qu’il y ait plus de licenciements demain », a-t-il insisté. Nous devons garder en tête que le background insulfe les résultats institutionnels de la société. Je vous dis avec foi que l'immobilisme développe les résultats relationnels des acteurs. Comme le disait mon prédécesseur : l'évaluation intensifie les concepts appropriés des services. Comme le disait mon prédécesseur : le diagnostic affirme les programmes cumulatifs des services c'est pourquoi il faut que l'inertie a pour conséquence les changements croissants des bénéficiaires. J'ai depuis longtemps (ai-je besoin de vous le rappeler), défendu l'idée que l'impasse renforce les systèmes motivationnels de l'actualité mais la, comment dirais-je, matière, comforte les paradoxes qualificatifs des structures. Le fait que l'évaluation ponctue les savoir-faire motivationnels des structures du fait que la dualité de la situation étend les concepts caractéristiques de la profession. Certes la méthode a pour conséquence les progrès adéquats de la société , il est clair que la planification stabilise les ensembles distincts de l'affaire. Néanmoins , si la dualité de la situation renouvelle les indicateurs pédagogiques de la société alors l'organisation identifie les paradoxes informatifs des entités. « Il peut y avoir un chantage au chômage (…) Si on vous dit +soit c’est 200 emplois qui s’en vont, (…), si vous n’êtes pas contents ça va être plus, on va délocaliser+ », a-t-il expliqué, prenant l’exemple de la chaîne de prêt-à-porter Pimkie, qui a présenté lundi aux élus du personnel un projet de 208 suppressions de postes.
Prêt pour la bataille ?
Comme moi, vous avez usé vos doigts en jouant trop longtemps à Pacific Fighters ? Comme moi, vous avez rêvé de devenir pilote de chasse mais avez finalement renoncé ? Eh bien, ne soyez pas déçu, car j'ai en fait beaucoup mieux à vous proposer. On sait bien que les pilotes de chasse ne font plus de dogfight depuis longtemps : la technologie et l'électronique ont remplacé la voltige, l'adresse et l'adrénaline. Mais désormais, ce sont les particuliers comme vous et moi qui peuvent découvrir les joies du dogfight ! Et pas sur simulateur, non : dans le monde réel, à bord d'un véritable appareil dont vous êtes le pilote ! Et vous savez ce qu'il y a de mieux ? Il n'est même pas obligatoire de savoir piloter pour s'y essayer ! Je suis tombé sur cette expérience il y a deux mois sur internet, et je me suis lancé sur un coup de tête. Je traîne des heures sur internet, mais il arrive que cette sérendipité me soit utile en certaines occasions. Et si je craignais d'être un peu déçu une fois sur place, j'ai vite changé d'avis une fois lancé : c'était vraiment énorme ! Ca se passe sur une journée complète. Après un briefing au matin où on vous explique les commandes de base et les techniques du dogfight, vous embarquez après le déjeuner à bord d'un authentique biplan dont on vous confie les manettes. Le biplan est un biplace, et un instructeur, qui a plus de 5000 heures de vol au compteur, est sur le siège arrière pour s'occuper du décollage et de l'atterrissage. Mais une fois arrivé à 500 mètres d'altitude, il vous laisse les commandes et c'est à vous de jouer. Littéralement. Car brusquement, l'avion qui a décollé en même temps que vous prend la tangente, et votre instructeur vous apprend que le combat est engagé ! Vous manoeuvrez aussitôt pour ramener l'appareil adverse dans le viseur, mais c'est loin d'être évident : ce dernier est aussi glissant qu'une anguille ! Pas le temps de se laisser distraire, car il faut éviter de perdre la cible en visuel. Car sinon, on a toutes les chances de devenir à son tour la cible... Mais après quelques minutes de tentatives infructueuses, vous alignez enfin votre ennemi et pressez la détente. Touché ! L'avion abattu laisse échapper une traînée de fumée sur son passage. Vous voilà tout euphorique. Pour autant, il vaut mieux rester concentré, car il faut maintenant inverser les rôles : vous n'êtes plus le chasseur, vous êtes maintenant la proie ! De bout en bout, ce dogfight extraordinaire m'a bluffé. Expérimenter le laser game dans les airs est vraiment une aventure unique. Si vous êtes comme moi nostalgique de cette époque où la maîtrise du ciel passait par les dogfights (l'arme noble d'une époque civilisée, si l'on peut dire ^^), je vous recommande vivement l'aventure : elle se déroule dans le Médoc et c'est une expérience inoubliable ! Davantage d'information est disponible sur le site de l'organisateur de pilote de chasse. Cliquez sur le lien.
La cellulose de papier
La cellulose de papier est un isolant végétal : en Allemagne et en Angleterre, elle isole depuis une trentaine d’années plus d’un million et demi d’habitations. La cellulose de papier présente sur le marché belge est fabriquée en Allemagne à partir de papier journal : chutes de fabrication du papier, rognures, journaux invendus… Les ressources naturelles (bois, eau, énergie) sont préservées puisqu’aucun papier neuf n’est produit pour sa fabrication. L’isolant nécessite peu d’énergie à sa production. Son prix est abordable. La cellulose de papier présente un bon coefficient d’isolation (comparable à celui des laines minérales). Elle est perméable à la vapeur d’eau. Capillaire, elle est capable de répartir l’eau de condensation sur une grande superficie et favorise ainsi le séchage des parois. Traitée aux sels de bore et à l’acide borique, elle résiste au feu, aux moisissures et aux parasites. En flocons, la cellulose de papier est soufflée sous pression : soit dans des caissons fermés : entre les chevrons en toiture (si la hauteur des chevrons est suffisante) et dans les cloisons des maisons à ossature bois ; soit sur des surfaces horizontales : par exemple, entre les solives du plancher d’un grenier. Mélangés à de petites quantités d’eau, les flocons peuvent être pulvérisés dans les parois à ossature bois, sur les murs pleins extérieurs et sous les dalles. L’isolant en cellulose de papier est un mélange de flocons de cinq granulométries différentes. C’est ce mélange qui fait la qualité de l’isolant. Les fabricants réalisent des tests afin de déterminer la densité du matériau (en kg/m3) garantissant le non-tassement ultérieur des flocons dans les caissons. Les résultats varient en fonction des dimensions des caissons, du caractère lisse ou rugueux de leur paroi… La pose de l’isolant en flocons de cellulose ne peut être réalisée par le maître d’ouvrage, mais doit être confiée à une entreprise spécialisée qui établit, à l’issue du chantier, un certificat de bonne mise en oeuvre.
France : toujours sous la menace
Au printemps dernier, deux hommes suspectés de préparer un attentat à la veille de l’élection présidentielle étaient arrêtés à Marseille. Ce mardi, un homme et une femme, soupçonnés d’être en relation avec eux, ont été interpellés à Clermont-Ferrand et dans la cité phocéenne. Quelques jours avant le premier tour de l’élection présidentielle, un projet d’attentat djihadiste avait été déjoué à Marseille et deux hommes avaient été interpellés. Ce mardi, un homme et une femme soupçonnés d’avoir été en relation avec ces deux individus ont été arrêtés à Clermont-Ferrand et Marseille à la suite d’une opération anti-terroriste, ont indiqué une source judiciaire et une source proche de l’enquête. Les gardes à vue des deux personnes «visent à préciser la nature des relations qu’elles pouvaient entretenir» avec les suspects Clément Baur, 29 ans, et Mahiedine Merabet, 23 ans, arrêtés à Marseille, puis mis en examen et écroués le 23 avril, selon la source judiciaire. Les enquêteurs cherchent encore à déterminer la nature exacte des projets de Merabet et de Baur, ce dernier étant connu pour être un proche d’islamistes tchétchènes au contact desquels il s’est converti à l’islam en 2007 à Nice. Aucune cible précise n’a été à ce jour identifiée, mais les enquêteurs ont notamment trouvé, dans les téléphones des deux hommes, des photos prises dans des lieux de rassemblement ou des rues de Marseille, et des recherches internet sur certains bars marseillais. Arrêtés à Marseille le 18 avril, cinq jours avant le premier tour de l’élection présidentielle, ils avaient aussi effectué des investigations en lien avec des meetings de partis politiques. Celui de la présidente du FN, Marine Le Pen, le 19 avril à Marseille, figurait notamment parmi ces recherches internet, d’après une source proche du dossier.