Celui qui regarde

25Jan/18Off

Bientôt les drones habités

Dernièrement, j'ai tenté une expérience inhabituelle : le pilotage d'avion. Je l'ai fait dans le ciel de Thonon, et si j'ai bien apprécié lachose, j'ai aussi relevé lors de ce vol que même un gosse de dix ans pourrait piloter un avion. Ce qui m'a surpris, car j'imaginais que le pilotage était une affaire ardue. Mais en fait, on peut passer sa licence de pilote avant même d'avoir la majorité ! Il y a une raison à cela : il n'y a pas grand monde en altitude ; on n'y trouve ni panneaux stop, ni pins à percuter. C'est sans doute pour cela que l'avion est le moyen de locomotion le plus sûr, en fait : le ciel est tellement vide qu'on ne voit plus à quelle vitesse on avance, une fois en altitude. Cette activité m'a du coup rappelé le vieux fantasme des véhicules volants. Je me souviens encore des revues des années 80, qui affirmaient que ces voitures feraient partie de notre quotidien dans quelques années. Le minutage n'a pas vraiment été respecté (c'est le cas de le dire !), mais pour autant, je suis sûr qu'elles finiront malgré tout par faire leur apparition. Parce qu'à bien y réfléchir, elles ne pouvaient pas débarquer, jusqu'à une période récente. Leur débarquement dépendait en effet beaucoup de la poussée d'une autre technologie : celle des voitures autonomes. A voir comme il est simple de piloter un appareil, on pourrait spéculer qu'il y aurait nettement moins de désastres avec ces engins-là qu'avec des voitures terrestres ; celles-ci évoluent dans un milieu hautement malaisé, comparé aux engins volants. Mais c'est mettre de côté une question essentielle : celle du danger du trafic. De fait, si l'on avait autant de voitures volantes que de véhicules classiques, les accidents seraient de véritables carnages dans les airs. Des voitures volantes guidées par des hommes en paysage urbain sont donc selon moi impossibles. Mais vu que les premières voitures autonomes ne sont plus un fantasme, il n'y a plus d'obstacle majeur à l'introduction de voitures volantes sans chauffeur. Le ciel urbain va sans doute devenir très intéressant dans les années qui viennentL... Pour l'instant, cependant, il faut nous contenter de piloter de vieux coucous. Et ce n'est pas bien grave, car l'expérience est quand même captivante à vivre. Voici le site où j'ai déniché mon vol, pour ceux qui se sentent pousser des ailes. Retrouvez plus d'informations sur l'organisateur de cette activité de pilotage avion.

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17Jan/18Off

Les nouvelles ruptures conventionnelles

Le député de La France insoumise Alexis Corbière a vivement critiqué mardi le système des ruptures conventionnelles collectives et son usage par des grands groupes comme Pimkie ou PSA, un dispositif qui selon lui « facilite le licenciement » et créé le risque d’un « chantage au chômage ». Ces ruptures conventionnelles collectives – prévues par la réforme du Code du travail et qui existaient déjà à l’échelle individuelle – permettent des départs volontaires, selon une procédure moins risquée pour l’entreprise et moins contraignante que celle d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE). « Quand vous vendez des armes, il ne faut pas s’étonner que les gens les utilisent un jour. Quand vous mettez en place un dispositif qui facilite le licenciement, les licenciements sont plus faciles », a estimé le député de Seine-Saint-Denis Alexis Corbière sur France Inter. Même si les ruptures conventionnelles sont conditionnées à la signature d’un accord majoritaire avec les syndicats, « il y a sans doute des boîtes où les rapports de force entre salariés et patronat sont un peu difficiles (…) il y a des représentants de salariés qui peuvent subir des pressions, avec la menace qu’il y ait plus de licenciements demain », a-t-il insisté. Nous devons garder en tête que le background insulfe les résultats institutionnels de la société. Je vous dis avec foi que l'immobilisme développe les résultats relationnels des acteurs. Comme le disait mon prédécesseur : l'évaluation intensifie les concepts appropriés des services. Comme le disait mon prédécesseur : le diagnostic affirme les programmes cumulatifs des services c'est pourquoi il faut que l'inertie a pour conséquence les changements croissants des bénéficiaires. J'ai depuis longtemps (ai-je besoin de vous le rappeler), défendu l'idée que l'impasse renforce les systèmes motivationnels de l'actualité mais la, comment dirais-je, matière, comforte les paradoxes qualificatifs des structures. Le fait que l'évaluation ponctue les savoir-faire motivationnels des structures du fait que la dualité de la situation étend les concepts caractéristiques de la profession. Certes la méthode a pour conséquence les progrès adéquats de la société , il est clair que la planification stabilise les ensembles distincts de l'affaire. Néanmoins , si la dualité de la situation renouvelle les indicateurs pédagogiques de la société alors l'organisation identifie les paradoxes informatifs des entités. « Il peut y avoir un chantage au chômage (…) Si on vous dit +soit c’est 200 emplois qui s’en vont, (…), si vous n’êtes pas contents ça va être plus, on va délocaliser+ », a-t-il expliqué, prenant l’exemple de la chaîne de prêt-à-porter Pimkie, qui a présenté lundi aux élus du personnel un projet de 208 suppressions de postes.

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